The Last of Us Part II

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Editeur(s) / Développeur(s) : Sony | Naughty Dog


Sortie : 19 juin 2020


Genre(s) : Action | Infiltration | Survival-Horror


Thème(s) : Post-apocalyptique


Classification : +18 ans


Mode(s) : Jouable en solo


Synopsis : Au centre de l'intrigue du premier volet, nous retrouvons à nouveau Joel et Ellie plus déterminée que jamais à éradiquer les infectés jusqu'au dernier. Se déroulant à nouveau dans un monde post apocalyptique, le duo toujours aussi soudé devra prendre les décisions qui s'imposent afin de survivre un seul jour de plus à cette pandémie.


 

Commentaires

  • Fulci

    1 Fulci Le 29/06/2020

    Je trouve dommage qu'il est enlevé les trophées multis et les trophées liés à la difficulté, je ne l'ai pas encore commencé mais d'après les vidéos que j'ai vu je sais que le jeu me plaira.
  • Jonathan

    2 Jonathan Le 26/07/2020

    Visuellement époustouflante, cette suite de Last of Us: un travail graphique épatant, une prouesse technique oscarisable ! Mais... Mais malheureusement, un jeu doit s'évaluer sur base de plusieurs facteurs, et ce second volet ne dépasse ni n'égale la qualité de son prédécesseur. Il est déjà arrivé, au cinéma comme dans les jeux vidéo, que le nouveau-né soit meilleur que l'aîné ; ce ne sera pas le cas ici : le deuxième reste deuxième, et le premier reste le premier au classement. L'homosexualité affichée d'Ellie n'a rien à voir là-dedans -- les créateurs de Naughty Dog ayant reçu des menaces de mort pour ce fait pour lequel le Moyen-Orient refuse de commercialiser le jeu.

    C'est du côté du scénario que ça coince, à travers deux erreurs principales. La première est le développement d'Abbie, un autre personnage féminin (une armoire à glaces) que le joueur devra contrôler durant la moitié du jeu (!) et à laquelle, sans spoiler, il est difficile de s'attacher. Néanmoins, le but des concepteurs est justement de déstabiliser le joueur à travers ce rebondissement et la prise en main d'un personnage détestable. C'est original, il faut le reconnaître, mais jusqu'à la fin, je n'ai pas été attendri une seule seconde par Abbie. C'est comme ça. La seconde erreur réside dans un manque de richesse en termes d'action, d'aventure, de combats. Mis à part quelques scènes véritablement surprenantes, le jeu est une suite parfois un rien lassante de collectes d'objets dans des bâtiments abandonnés, de dialogues ennuyeux (nécessaires pour approfondir la psychologie des personnages), et de gunfight classiques. Les combats sont chouettes, mais cela manque cruellement de diversité. Le seul boss à affronter, par exemple, est un contaminé géant (trois puants en un, on dirait) difficile à abattre (combinaison de lance-flammes, bombes explosives, munitions en tout genre, etc. dans un environnement sombre). Où sont les nouvelles armes, les nouveaux monstres, les rebondissements à gogo ? En fait, on discute autant que l'on tire. C'est une expérience, mais on méritait mieux.

    10, 12, 14, 16/20 ? Difficile d'établir une note précise, tant la qualité visuelle évoquée en début de commentaire vient quelque peu dissoudre la critique scénaristique, comme Paris reste la plus belle ville au monde, malgré l'antipathie des Parisiens. Elle serait plus belle si ses habitants étaient charmants, certes, mais elle est déjà magnifique, et c'est ce que l'on retient. Que retenir ici du jeu ? Sans doute le même constat. C'est un chef-d'oeuvre qui annonce combien la nouvelle ère qui débutera en novembre sera révolutionnaire.
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